Fanfan&Albert : Notre vie au Maroc

Nouveau rendez-vous avec nos amis. Nous les prenons en charge devant leur hôtel.

Avant d'embarquer, nous passons quelques instants dans la boutique "Anaprix". J'y vois un polo "Eden Park" pour Albert. Il l'essaie, mais, malheureusement, il est un peu juste... Par contre, moi, je trouve un pantacourt beige... je suis contente !

Allez, en route ! Nous nous dirigeons vers Tifnit. Pour la 1ère fois, nous entrons dans le village. Nous y faisons de belles rencontres, et nous passons un bon moment à discuter. 

Nous descendons jusqu'à la plage, et nous découvrons un petit resto, 'le "Maxim's" !

Un tout jeune homme nous fait les honneurs des lieux... et nous explique que nous ne pouvons pas manger immédiatement, parce qu'ils attendent le retour des pêcheurs avant de proposer le menu ! Il est trop tôt, les bateaux ne sont pas encore rentrés. 

Albert prend les coordonnées du jeune homme qui nous a reçus. Nous n'avons pas pensé à lui demander son prénom... Dommage !

Il fait encore une révélation à Albert : dans ce village de pêcheurs, il n'y a ni femme ni enfant !!! Il ajoute, en éclatant de rire, qu'il n'y a donc ni problèmes ni bruit ! Nous le contacterons volontiers le jour où nous reviendrons ici... Incha'llah !

Nous retournons à la voiture, et nous prenons l'ancienne piste du "Dakar" qui longe l'océan sur les falaises. Nous y sommes venus souvent, mais nous ne nous lassons pas de ces magnifiques paysages ! Nous sommes contents d'en faire profiter nos amis, qui sont sensibles à la beauté des lieux.

Tout comme nous, ils aiment tellement le Maroc !

Nous rencontrons quelques adeptes de parapente... Nous les regardons un petit moment avant de continuer notre balade.

Nous allons jusqu'à Wassaï-Plage, et nous déjeunons au restaurant du camping. Nous commandons des fritures mixtes, elles sont délicieuses et nous nous régalons.

Sur la route du retour, nous nous arrêtons à la poterie de Sidi Bibi. Nos amis sont surpris par la superficie de la boutique et par le stock de produits qu'on y trouve.

Ils visitent les ateliers de création, puis ils parcourent les allées du magasin. Ils font quelques achats, et nous en profitons pour acheter un tajine plus petit que celui que nous avons à la maison.

La nuit tombe quand nous arrivons à Agadir. En face de leur hôtel, un petit resto vient d'ouvrir. Ils servent l'harira avec un oeuf dur, des dattes et des chebakias, le tout pour 10 dirhams. Albert et moi y dînons avant de rentrer à la maison. Nos amis rentrent à l'hôtel, ils préfèrent aller manger un "vrai" repas.

Je vous souhaite une bonne nuit, et je vous dis à bientôt, Incha'llah !