31 janvier : Hourrah, il a réussi !

Nous nous réveillons à 7h15... sans l'aide du réveil ! Sommes-nous déjà "conditionnés" ?

Nous descendons ensemble pour préparer le petit déjeuner.

Albert fait la vaisselle pendant que je fais le ménage. L'aspirateur fait des siennes, il n'avale plus la poussière. J'appelle Albert à la rescousse, et il solutionne le problème bien vite. Le voilà de nouveau opérationnel, et je peux terminer ce que j'ai commencé. Ensuite, je fais la poussière. Ça me prend du temps, car, étant donné que nous avons de la place maintenant, j'ai pu sortir tous les bibelots qui "dormaient" au fond des cartons depuis très longtemps... !

Quand j'ai fini de tout épousseter, je monte au premier rejoindre Albert. Il a entreprit d'installer les tringles de la chambre d'amis.

Je le vois prendre les mesures, cogiter pour faire au mieux.

Je ne lui suis d'aucune utilité, je m'attaque donc au pliage et au rangement du linge.

Je vais faire la curieuse de temps en temps, Albert s'en sort bien.

La tringle est en place, c'est parfait, je suis contente !

Il peut être fier de son travail.

Avant qu'il n'entreprenne la pose de la deuxième tringle, je vais faire chauffer le repas. J'ai sorti du congélateur le plat que j'ai préparé il y a deux jours.

Nous passons à table. La viande est très tendre, mais Albert n'aime pas les légumes. C'est vrai qu'ils ont un goût assez fort. Est-ce parce qu'ils ont été congelés ? Heureusement, j'ai préparé des pâtes, il n'aura pas le ventre vide. Je mange les courgettes et les aubergines, ce n'est pas si mauvais !!!

Nous débarrassons la table. Albert fait le café, nous le prenons au salon. Nous allumons nos ordis en attendant qu'il refroidisse un peu... puis Albert s'allonge un moment. Je dois le réveiller dans une heure.

"Albert Chéri..., c'est l'heure de te lever !"

Il me sourit et se lève bien vite. Il monte immédiatement pour continuer le travail commencé. Je ne veux pas le stresser, je ne vais le voir que de temps en temps...

Il galère, mais il en vient à bout. Il a du mérite d'y parvenir, car il a tellement mal aux épaules depuis quelques mois, qu'il ne pensait pas pouvoir le faire.

Mais il s'est acharné et a gagné le challenge qu'il s'était fixé !

Il n'a besoin de mon aide que pour la mise en place de la tringle.

Nous montons tous les 2 sur les escabeaux... et le tour est joué !